À toutes les dames qui portent
un jupon

FORMAT

Danse contemporaine

DURÉE

40 minutes

ANNÉE

2025

CHORÉGRAPHIE ET PRODUCTION

Marie-Chantale Béland

Fruit de cinq années de collaboration avec la chorégraphe Marie-Chantale Béland, mon rôle dans À toutes les dames qui portent un jupon a été celui de compositeur, en portant la vision musicale du projet dans un dialogue étroit avec la création chorégraphique.

Présent dès les premières journées en studio, j’ai mené à bien l’univers sonore en composant des musiques conçues sur mesure pour accompagner et révéler le langage chorégraphique de Marie-Chantale. Tantôt en réponse au geste, tantôt en amont de celui-ci, la musique a circulé librement entre ce qui se vivait et ce qui se pressentait.

Ce travail s’est construit dans la durée, à travers l’écoute, l’observation, l’échange et la proposition, afin que la musique et le geste puissent se nourrir mutuellement sans jamais se contraindre.

CRÉDITS


Chorégraphie :
Marie-Chantale Béland
Interprétation : Sarah Audet, Stefania Skoryna, Elizabeth Crispo, Sarah-Jane Savard
Interprète-apprentie et doublure : Léa Bernier
Musique : Simon Coovi-Sirois
Mentorat : Caroline Simonis, Harold Rhéaume
Lumières : Luc Vallée
Scénographie et costumes : Laurie Carrier

Diffusé avec le soutien de Première Ovation

Photos : Caleb Taylor
Captation : Vue sur la relève

RÔLE

Composition musicale

Première œuvre chorégraphique de l’artiste émergente de Québec Marie-Chantale Béland, À toutes les dames qui portent un jupon est une célébration de l’affirmation de soi, une invitation à prendre, enfin, la place qui nous revient.

Inspiré de la vidéo du mariage des parents de la chorégraphe, le spectacle nous immerge dans une mémoire familiale où s’entrechoquent à petite échelle les dynamiques sociétales. En filigrane des images d’archives émergent des stéréotypes et des préjugés sexistes, principalement envers les femmes. En guise de réponse à ce portrait suranné, Marie-Chantale Béland met en scène trois protagonistes féminines – sa mère et ses tantes – qui occupent, tour à tour, entièrement la scène. La sororité s’y révèle comme un acte d’empowerment, un antidote à l’invisibilité autrefois prescrite.

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